Ni plaisir ni divertissement
Certes, « Ni juge ni soumise » ne compte pas parmi les documentaires traditionnels. Le ton sobre, même gai, avec lequel la juge Anne Gruwez résout ses divers dossiers contraste fortement avec la cruauté des crimes. Alors que quelques spectateurs se demandent s’il s’agit d’un documentaire ou plutôt d’un film de fiction, les réalisateurs, Yves Hinant et Jean Libon, leur répondent : ce n’est pas du cinéma, c’est pire.